pour Berthold BRECHT, 1940
"L'ivresse fuit.
Le quotidien crie:
Qui vaincra?
A quoi bon gaspiller des larmes inutiles,
Pourquoi verser un pleur sous prétexte que l'huile
Jamais ne réussit à se mêler à l'eau:
Il est temps que tes valets te tournent le dos.
Un bon maître, ils en auront un
Dès que chacun sera le sien."
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